Augmentation mammaire, chirurgie esthétique des seins à Lille, Calais ou Dunkerque

Chirurgie esthétique / Seins et thorax-chirurgie combinée

Présentation de l’intervention  de l'augmentation mammaire

L’hypoplastie mammaire est définie comme un volume des seins insuffisant. Elle peut être liée à un développement insuffisant de la glande à la puberté. Elle peut également apparaître plus tard, par perte de volume glandulaire (grossesse, amaigrissement, perturbations hormonales).

Les implants mammaires sont composés d’une enveloppe et d’un produit de remplissage. L’enveloppe est constituée d’un élastomère de silicone. Certains comportent du polyuréthane.

Les prothèses pré remplies de gel de silicone sont de plus en plus utilisées. Elles assurent au sein un palper souple proche d’une consistance naturelle. Les gels sont plus ou moins cohésifs. De plus, elles évitent, en cas de rupture, la diffusion du silicone.

Augmentation mammaire 2

Il existe, également, des prothèses rondes qui assurent un beau décolleté, ou bien des prothèses « en goutte » dites anatomiques, pour un rendu du sein plus naturel. Tous les implants disponibles en France sont soumis à des normes précises et rigoureuses :marquage CE (Communauté Européenne), et autorisation ANSM (agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé). Depuis novembre 2016, un registre national des prothèses mammaires a été mis en place.

Il existe d’autres types d’implants :
  • Prothèses remplies d’hydrogel : gel aqueux, composé d’une grande partie d’eau gélifiée par un dérivé de cellulose. En cas de rupture de l’enveloppe, le gel est résorbable par l’organisme.
  • Prothèses avec une enveloppe recouverte d’une mousse de polyuréthane : l’enveloppe va s’intégrer dans les tissus environnants. Elle procure une forme d’accroche tissulaire. Ces implants connaissent un certain essor depuis quelques années. En effet, ils permettraient de mieux pérenniser leur positionnement, d’atténuer le surpoids et d’empêcher la rotation des implants anatomiques.

 

Le choix de votre prothèse sera le fruit d’une discussion avec le chirurgien, qui vous conseillera le choix le plus judicieux dans votre cas.  

À qui s’adresse l’augmentation mammaire par prothèse ?   

L’intervention peut se pratiquer à tout âge, à partir de 18 ans. Elle peut être envisagée lorsque la patiente éprouve un mal-être physique ou psychologie, comme une atteinte à sa féminité, une altération de la confiance en soi, pouvant aller jusqu’au véritable complexe.  

Comment une augmentation mammaire par prothèse se déroule-t-elle dans nos cabinets à Lille, Calais ou Dunkerque ?

Contre-indication médicale

Aucun médicament contenant de l’aspirine ne devra être pris dans les 10 jours précédant l’opération. On vous demandera également de rester à jeun, 6 heures avant l’intervention.

Votre sécurité, étant la première préoccupation de votre cabinet Archimed, les chirurgiens vous demandent l’arrêt complet du tabac et de la cigarette électronique au moins un mois avant l’intervention et jusqu’à cicatrisation (environ 15 jours après). En effet, le tabac est responsable de complications cicatricielles majeures et de certains échecs de la chirurgie. Pour les interventions comprenant un décollement cutané comme les chirurgies mammaires, le tabac peut entraîner de graves complications cutanées ainsi que des complications cardiaques et respiratoires pendant l’anesthésie. Si vous fumez, il est important d’en informer votre chirurgien qui pourra vous prescrire des substituts nicotiniques. 

Le jour de l’intervention, un test nicotinique pourra être réalisé. S’il est positif, le chirurgien sera en droit d’annuler l’intervention, pour votre sécurité.

Technique

Chaque chirurgien adopte une technique qui lui est propre et qu’il adapte selon les cas de ses patients, pour obtenir les meilleurs résultats. Toutefois, on retrouve des bases communes ; il existe plusieurs voies « d’abord » possibles :

  • Par voie aréolaire, avec incision dans le segment inférieur de la circonférence de l’aréole, ou par ouverture horizontale contournant le mamelon par-dessous.
  • Par voie axillaire, avec incision sous le bras, dans l’aisselle.
  • Par voie sous-mammaire, avec incision placée dans le sillon situé sous le sein.

Le tracé de ces incisions correspond à l’emplacement des futures cicatrices qui seront donc dissimulées dans des zones de jonctions et de replis naturels.

 

Deux positionnements sont possibles :

  • Prémusculaire : les prothèses sont placées directement derrière la glande, en avant des muscles pectoraux.
  • Rétromusculaire : les prothèses sont placées plus profondément, en arrière des muscles pectoraux.

En cas de poses mammaire, il pourrait être souhaitable de réduire l’enveloppe cutanée du sein afin de le faire remonter. Dans ce cas, les cicatrices pourraient être plus importantes.  

Durée

En fonction du chirurgien et de la voie, l’intervention peut durer d’une à deux heures et demie. 

Type d’anesthésie 

 Le plus souvent, il s’agit d’une anesthésie générale. Dans de rares cas, une anesthésie « vigile » (anesthésie locale avec des tranquillisants) peut être envisagée.  

Type d’hospitalisation 

L’intervention nécessite généralement une hospitalisation d’une journée. La sortie est autorisée le lendemain. Elle peut aussi se pratiquer en ambulatoire, avec une sortie le jour même après quelques heures de surveillance.  

Fils, bandages et sutures

Les fils sont résorbables. Il n’est pas nécessaire de les enlever.

Cicatrices 

Les cicatrices sont à l’origine des incisions réalisées pour installer les prothèses. Elles se trouvent dans les plis naturels de la peu et sont, donc, discrètes.  

Suites normale d'une augmentation mammaire par prothèse

Durée des pansements

Un pansement modelant est réalisé avec un bandage élastique. Le premier pansement est retiré après quelques jours. Il est remplacé par un pansement plus léger.

Gestion de la douleur et de la fatigue

Les suites opératoires peuvent parfois être douloureuses les premiers jours, surtout quand les implants sont de gros volumes. Un traitement antalgique en fonction de l’intensité des douleurs sera prescrit pendant quelques jours. Un œdème, des ecchymoses et une gêne à l’élévation des bras sont fréquents après l’opération.

Il convient d’envisager une convalescence avec interruption d’activité de cinq à dix jours. Il est conseillé d’attendre un à deux mois pour reprendre une activité sportive.

Délai avant résultat(s) définitif(s)

Un délai de deux à trois mois est nécessaire pour apprécier le résultat définitif. Il faut laisser le temps aux seins de retrouver leur souplesse ainsi qu’aux prothèses pour se stabiliser.

Avec le temps, les seins augmentés subiront les effets naturels de la pesanteur et du vieillissement, en fonction de l’âge, des qualités de soutien de la peau, mais aussi du volume des implants.  

Les risques envisageables les heures et les jours suivant l’opération pour une augmentation mammaire par prothèse

Comme tout acte chirurgical, l’augmentation mammaire par prothèses comporte des risques, aussi minimes soit-il. En choisissant Archimed, vous choisissez un chirurgien plasticien qualifié et compétent, limitant alors les risques. Votre cabinet vous informe des complications envisageables :

  • Hématome : lié à l’accumulation de sang autour de la prothèse
  • Épanchement séreux : accumulation de liquide lymphatique, souvent associé à un œdème.
  • Infection : elles sont rares après ce type de chirurgie. Elle impose une reprise chirurgicale. Il y a trois formes particulières d’infection. L’infection tardive qui présente peu de symptômes, sans traduction évidente à l’examen. Le micro-abcès qui est plus fréquent, car se développe sur un point de suture et se résorbe rapidement après l’ablation du fil incriminé. Et enfin, le choc toxique staphylococcique, qui est rarissime cas infectieux.
  • Nécrose cutanée : manque d’oxygénation tissulaire dû à une insuffisance d’apport sanguin localisée. Elle est favorisée particulièrement par un tabagisme important chez la patiente.
  • Anomalies de la cicatrisation : la cicatrisation met en jeu des phénomènes aléatoires. À terme, les cicatrices peuvent ne pas être aussi discrètes qu’escomptées.
  • Altération de la sensibilité : sont fréquentes les premiers mois, mais finissent par régresser. Rarement, elles peuvent persister au niveau de l’aréole et du mamelon.
  • Galactorrhée : très rares, en cas de stimulation hormonale postopératoire inexpliquée.
  • Pneumothorax : rare, nécessite un traitement spécifique.  

Il faut distinguer les risques liés aux implants :

  • Formation de plis ou aspect de « vagues » : dû à la souplesse des implants, leur enveloppe peut se plisser. Ces plis peuvent être visibles sous la peau dans certaines positions. Ce phénomène est plus fréquent avec le sérum physiologique qu’avec le gel de silicone.
  • Coques : la réaction physiologique, normale et constante de l’organisme humain en présence d’un corps étranger, est de l’isoler des tissus environnants en constituant une membrane hermétique qui va entourer l’implant, qu’on appelle « capsule périprothétique ». Il arrive que la réaction s’amplifie et que la capsule s’épaississe, devienne fibreuse et se rétracte en comprimant l’implant, prenant alors le nom de « coque ».
  • Rupture : les implants ne sont pas définitifs. Ils ont une durée de vie en moyenne de 10 ans. Une perte d’étanchéité de l’enveloppe peut donc survenir à terme. Cela peut être très rarement la conséquence d’un traumatisme violent, ou d’une piqûre accidentelle, et souvent le résultat d’une usure progressive de la paroi due à l’ancienneté. En fonction du possible de remplissage, l’issue est différente.
  • Malposition, déplacement.
  • Rotation : relativement rare.
  • Déformation de la paroi thoracique.
  • Sérome tardif péri-prothétique : dans de très rares cas, une accumulation liquidienne peut survenir tardivement autour de la prothèse. Un bilan sénologique devra être fait, auprès d’un radiologue spécialisé pour réaliser une ponction sous échographie.  

Prix d'une augmentation mammaire à Lille, Calais ou Dunkerque

Prise en charge par la sécurité sociale

Cette chirurgie a une visée purement esthétique. De ce fait, elle ne peut bénéficier d’une prise en charge par l’assurance-maladie. Seulement quelques cas d’agénésie mammaire (absence radicale de tout développement mammaire) peuvent espérer une participation de la sécurité sociale.

Prix  

Le prix de cette intervention s’élève à 4050€ (comprend la chirurgie, l’anesthésie, l’hospitalisation, les frais de bloc opératoire et les 2 prothèses).

Notre méthodologie opératoire

Des médecins et chirurgiens à votre écoute.

Cheminement consultation

Consultation

Une intervention chirurgicale n’est jamais anodine : c’est pourquoi chaque nouveau projet initié avec nos clients débute par une consultation avec l’un de nos chirurgiens. Cette entrevue nous permet de vous conseiller et de répondre à l’ensemble de vos interrogations.

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Opération

Une fois nos clients avertis et informés sur les étapes de leur intervention, un rendez-vous est planifié pour la réaliser. Faire appel à l’expertise du Cabinet Archimed, c’est s’assurer d’une opération réalisée avec minutie et d’un accompagnement complet.

suivi post op méthodologie

Suivi post-opératoire

L’accompagnement de nos experts ne s’arrête pas à l’intervention chirurgicale : en effet, un suivi post-opératoire est réalisé pour traiter les éventuelles corrections, mais aussi les étapes de cicatrisation et vous assurer une satisfaction optimale.

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